Et voilà, c’est parti pour la rédaction de mon nouvel essai sur la
communication politique non violente.
Comment en finir avec l’impuissance et la résignation sans se déchaîner
dans les luttes pour la reconnaissance, ni se replier dans une spiritualité
niaise ? Que nous raconte du politique le retour des rituels magiques ? Quelles responsabilités sociales endosser en cohérence avec nos
sentiments ?
Après
avoir tourné et retourné le problème, je dessinerai les médiations rationnelles
que nous pouvons offrir à l’âme du monde pour qu'elle se réalise ici-bas. En
effet, mon impuissance politique renvoie autant à la clôture narcissique du
bocal administratif et médiatique qu’à la violence faite à l’être dans son invite à le
reconnaître.
Dans son concept, la communication
politique non violente n’est pas l’application de la technique de communication non violente
à l’arène politique pour en civiliser les échanges. Il n’est pas plus l'idéal de la
communication entre acteurs politiques non systématiquement déformée par la domination.
La communication politique non
violente serait simplement l’expression imparfaite de notre puissance d’agir en
public.
05 mai 2018 : l'article a été accepté pour publication dans Les C@hiers de psychologie politique (n° 33, été 2018).
Et en PDF ici
05 mai 2018 : l'article a été accepté pour publication dans Les C@hiers de psychologie politique (n° 33, été 2018).
Et en PDF ici
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire